Ce n’est pas parce que tu as une place que c’est forcément ta place?

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Toute personne a des jours où elle n’a pas le moral.

Comme je me définie comme une personne normale (la plupart du temps), j’ai eu à les vivre.

Vous essayez d’être positif et d’essayer de vivre au jour le jour.

Et comme on dit « a chaque jour suffit sa peine »!

Alors pour nous frustrés, « exilés de l’éducation », loin des nôtres pendant de longues années, les coups de bleues on en voit plus que la population générale!

Je sais je n’ai pas de preuve de ces statistiques, mais vu que ce n’est pas un article à critiquer dans votre illustre journal scientifique, vous allez vous contenter de cette affirmation.

Bref …

Un jour j’ai eu ce coup de bleues et j’avais écrit:

« Entre le fait d’être limité, freiné à devenir une valeur positive « indépendante » parmi un tout, et le fait de ne pas être considéré ou reconnu comme « partie intégrante » d’une équipe??

Parce qu’on est étranger? Pas chez soi? À passage limité?

Et entre ce rêve et espoir d’un épanouissement futur chez « soi »,  cette envie de pouvoir concrétiser des projets déjà mûris avec le temps? des projets qui ont besoin d’émerger afin de prouver aux autres, et surtout se prouver à soi qu’ils n’étaient pas que des projets illusoires d’un jeune « rêveur » qui vient d’intégrer la vie active, la vie des « adultes ».

Entre toutes ces réflexions, ces murs, et ces briseurs d’espoir,  résident toutes les frustrations, les doutes et les attentes d’une jeunesse, qui se veut patriotique, patiente et disciplinée, sur le chemin du sacrifice pour un je-ne-sais-quoi pour un je-ne-sais-qui! »
En gros, vous l’avez compris: on ne veut pas de nous là où nous sommes et on ne sait pas si on voudra de nous au retour!?

Mais voilà quelques jours après je me retrouve à m’auto-remonter le morale par tout une autre rhétorique:

« Someday you’ll be the boss, you’ll experiment and do whatever you think is the solution. You’ll learn from your mistakes and advance to another level each time.

But until then, keep your spirit high and be optimistic.

Don’t let your actual work environment define who you are or how valuable are your ideas.

Keep trying to solve problems, think about all the possibilities, make suggestions of solutions, innovate.

You have to know that even if they don’t appreciate your commitment, you are doing yourself a great favor.

It’s kind of frustrating sometimes but at the end of the road: only the believers will win and last.

So believers, have a nice day! »

 

Et voilà, me demandez surtout pas pourquoi j’ai écrit le deuxième en anglais.

Je ne suis pas bilingue, mais quand l’inspiration vient alors on laisse couler l’encre!

Oui, le chemin est long, on tombe très souvent mais on relève la pente toujours! C’est la devise qu’il faut garder à l’esprit et se la répéter!

Ps: mais comme par hasard on l’oublie toujours lors de ces fameux jours de « bleues ».

 

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