« I Was here : I lived, I loved»

iwas here

 

Beyoncé  « I Was here : I lived, I loved. » Footprints- No regrests- Leaving a Mark.

 

C’est dans cet esprit que j’écris.

Voilà à travers une chanson : une phrase, et 3 mots et tout se résume : j’ai vécu, j’ai aimé…

Oui c’est un message que j’ai toujours voulu bien laisser ancré quelque part sur mon passage éphémère sur terre.

Un message à travers mes mots et mes écrits, et je voudrais bien que ma fille le lise un jour.

Je ne veux pas lui donner une leçon sur la vie ni lui donner la recette magique pour vivre sans souffrir : ça n’existe pas.

Elle fera d’elle-même ce chemin, je voudrais juste qu’elle continue à être une amoureuse de la vie, de la joie de vivre, souriante comme elle l’a toujours été depuis ses premiers jours.

Je voudrais qu’elle soit une passionnée, qu’elle aime l’art dans toutes ces formes, qu’elle n’ait pas peur d’aimer, qu’elle n’ait pas peur de donner une partie d’elle-même, je veux qu’elle sache que souffrir est inévitable.

Qu’aimer est souffrir, mais que ça nous élève nous rends meilleures, plus fortes !

Je veux qu’elle cherche à se connaitre elle-même.

Qu’elle ne soit pas de ceux qui hésitent à faire leurs choix de suivre leur cœur, de peser le pour et le contre, et d’assumer.

Je voudrais bien qu’elle soit quelqu’un qui essaye de toujours voir le bien dans les autres.

Je voudrais bien que, quand elle a mal, elle ne refoule pas ses larmes, qu’elle pleure toute sa douleur et ses peines.

Je voudrais bien qu’elle écrit tout son mal de vivre, mais aussi ses joies, ses amours, et ses succès.

Je voudrais d’elle soit juste elle même, ni plus ni moins, et qu’elle sache que toutes les portes de cet univers lui sont ouvertes!

Que quand elle voudra, elle pourra.

Que tant que je serais là, elle trouvera l’amie, la confidente, la complice dont elle en aura besoin pour voler au de la des frontières, des préjugés et des hommes.

Alors oui, et ne serais ce que pour elle, ma trace sur cette terre je la veux écrite pour la prospérité.

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